Atelier 1 : Donner et recevoir des faux coups
1 intervenant – à partir de la 4ème – durée minimum : 2 heures
Le théâtre regorge de fausses bagarres et de combats d’épées, et souvent les acteurs dans leur parcours ont dû s’entraîner à donner des faux coups. Comment représenter les coups pour jouer avec la violence ? pour la donner à ressentir ? Et selon ce qu’on cherche, mieux vaut-il chercher le plus grand réalisme ou le plus grand décalage pour analyser et comprendre la mécanique de la violence ?

Atelier 2 : Essayer de représenter la violence au travers des procès hors-normes
1 intervenant – à partir de la 2nde – durée minimum : 4 heures (2 fois 2h)
L’affaire des chemises arrachées d’Air France tout comme le procès des suicides de France Telecom
ont été deux points d’ancrage forts pour le spectacle. Qu’est-ce que ces deux affaires ont-elles à nous
raconter sur la violence ? De quoi sont-elles l’exemple ? La démonstration ? Comment raconter les faits de ces affaires et les procès associés ?
Nous proposons différents matériaux (photos et articles de presse sur les faits, réquisitoire des procès,
entretiens menés par l’équipe avec des avocats des affaires en question, scènes du spectacle, gestuelle du faux coup, etc.) pour interroger ensemble la représentation de la violence au théâtre.

Atelier 3 : Ecrire la violence à partir de son expérience
1 intervenant – à partir de la 4ème – durée minimum : 2 heures
Parfois difficile à appréhender dans sa complexité, la violence est pourtant une chose dont nous faisons toutes et tous l’expérience. Nous travaillerons à faire le récit de violences dont nous avons pu être témoins comme les élèves de l’école le font dans le spectacle. Plusieurs exercices d’écriture peuvent être envisagées pour tenter ensuite de mettre en scène les récits :
– raconter une violence dont vous avez été témoin
– raconter une violence dont vous avez été acteur
– raconter une violence qui ne passe pas par les coups